jeudi 13 mai 2010

Plus de 4000 visiteurs à la Maison Enfant Soleil de Terrebonne

(Source : Le Trait d'Union -- Mélanie Adam -- 12 mai 2010)


Depuis son ouverture, le 3 avril, les visiteurs affluent à la Maison Enfant Soleil, située au 597, avenue des Grands-Prés à Terrebonne

«Les commentaires des visiteurs sont positifs et le taux de participation est excellent», affirme le maire de Terrebonne, Jean-Marc Robitaille, saluant le travail du Groupe Selona, constructeur officiel de la maison et les décorateurs de Sears.

Des bénévoles, sous la supervision des Chevaliers de Colomb de Lachenaie, attendent les visiteurs les jeudis et vendredis, entre 10 h et 20 h, et  les samedis et dimanches entre 9 h et 17 h.

Plus de 4000 visiteurs à la Maison Enfant Soleil
Les conseillers municipaux Jean-Guy Sénécal et Stéphane Berthe entourent Pierre Émond, responsable des bénévoles et Gilles Boutin, président des Chevaliers de Colomb de Lachenaie.

mercredi 12 mai 2010

Brigitte Boutin participera au Relais pour la vie et sollicite vos généreux dons

Bonjour à vous tous chers amis, collègues et famille!

Dans la nuit du 12 au 13 juin 2010, je participerai au Relais pour la vie à Lévis. Durant cet événement, tous les participants font une marche à relais de 12h afin d'amasser des fonds pour célébrer et rendre hommage à tout ceux qui luttent ou ont déjà lutté contre le cancer.

Pour cette collecte de fond qui servira à amasser de l'argent destiné à la recherche, à la prévention et aux soins, je sollicite votre aide. Vous pouvez donner ce que vous voulez. Il existe plusieurs façons de le faire. Vous pouvez le faire directement à moi mais pour ceux et celles pour qui c'est plus compliqué, je vous propose aussi de faire vos dons au site suivant : 


 C'est simple et sécuritaire. 
Le nom de mon équipe est L'arc-en-ciel  et je suis le chef  d'équipe : Brigitte Boutin

Cette soirée là, je marcherai entre autres pour donner l'espoir à d'autres personnes atteintes de cancer . J'ai cotoyé deux deux fois la maladie dans ma vie. À 22 ans, j'ai dû lutter contre le Sarcom D'Ewing, un cancer des os qui s'est attaqué à mon humérus droit et en 2008, en luttant contre le cancer du sein.

J'ai vaincu deux fois la maladie et je sais que ce n'est pas toujours facile. Mais tout est possible.

Je sais aussi que les traitements s'améliorent et qu'on sauve de plus en plus de vie. Je sais aussi qu'il faut que la recherche continue pour découvrir de nouveaux médicaments pour  enrayer cette maladie qui frappe encore trop de gens. Je me considère chanceuse d'être encore en vie aujourd'hui. Alors , c'est pourquoi je veux faire ma part en participant à cet événement de collecte de fonds.

Je crois beaucoup en cette cause, c'est pour cette raison que je vous demande votre aide , pour tous ceux et celles qui ont  dû se battre contre le cancer, et tous ceux qui devront le faire dans l'avenir.

Un énorme merci

xxx

Brigitte Boutin

(N. B. : Brigitte est la fille de Noëlla Boutin, membre de notre l'Association des Boutin d'Amérique).

Les jeunes coopérants à l'œuvre pour une 6e année dans Bellechasse

(Ludovic Côté, La Voix du Sud, 11 mai 2010)

Cet été encore, les résidants de Saint-Anselme et de Saint-Henri pourront compter sur les participants des coopératives jeunesse de services (CJS) de leurs municipalités pour la réalisation de menus travaux, tels que le gardiennage, la tonte de gazon, l'entretien ménager, la cueillette de fruits et légumes et l'aide aux déménagements.
L'agente de sensibilisation à l'entrepreneuriat jeunesse du Carrefour jeunesse-emploi (CJE) de Bellechasse, Marie-Ève Bernard, a en effet confirmé le retour de la CJS de Saint-Anselme pour une 6e année consécutive et de la CJS de Saint-Henri pour une 3e année.

Chacune d'elle regroupera une quinzaine de jeunes de 12 à 17 ans, qui auront la chance d'engranger des revenus tout en apprenant les rouages de l'entrepreneuriat, entre autres en planifiant des activités d'autofinancement, en déterminant le coût des contrats et en répartissant les tâches à effectuer entre eux.

Ils seront supportés par deux animatrices d'expérience en Myriam Labrecque et Alexandra Boutin, qui seront respectivement de retour pour une 4e année à Saint-Anselme et une 3e année à Saint-Henri, ainsi que par deux animatrices recrues des plus dynamiques en Andrée-Ann Piché-Comtois (Saint-Anselme) et Geneviève Roy (Saint-Henri).

Les coopérants seront également appuyés par le comité local formé de représentants du CJE, du Centre local de développement (CLD) de Bellechasse, de la Caisse Desjardins des Rivières Boyer et Etchemin, des loisirs de Saint-Henri et Saint-Anselme, de la Chambre de commerce et d'entreprises de Bellechasse et de l'École secondaire de Saint-Anselme.

Par ailleurs, les deux CJS pourront compter sur l'aide de porte-parole du milieu des affaires, à savoir Daniel Lachance de la Caisse Desjardins des Rivières Boyer et Etchemin et Robert Leclerc d'Henri Audet ltée, afin de se faire connaître de la population.

Le lac St-Louis : un laboratoire grandeur nature

(Patrick Vaillancourt, L'Écho de La Tuque - Haut-St-Maurice, le 11 mai 2010)

Le lac St-louis est aux prises avec un problème de cyanobactéries depuis quelques années. Depuis le mois d’août dernier, le lac en plein centre-ville de La Tuque fait l’objet d’un projet-pilote afin de contrôler les cyanobactéries par un système d’ultra-sons inventé par Musilab, qui relève du Cégep de Drummondville. Le projet-pilote semble concluant et bien d’autres municipalités ou associations de lacs pourraient profiter de cette invention.

L’appareil se nomme Cyanocide. Il est situé dans le sac St-Louis et émet une fréquence de 1,7 mégahertz, une très haute fréquence, afin de contrôler les cyanobactéries. Toutefois, Musilab a été fermé par le ministère de l’Éducation, et le créateur de l’appareil, Marcel Boutin, a demandé un brevet sous le nom d’une nouvelle entreprise : Produitson. «Je pensais qu’il était intéressant de continuer à opérer le produit», indique M. Boutin.

Et ce dernier pourrait bien détenir une petite mine d’or entre les mains, puisqu’il existe peu d’entreprises qui développent des produits ultrasoniques au Québec.

Un appareil semblable avait été inventé en Belgique pour les fermes de production de fleurs. Des micros algues bouchaient les buses d’arrosages et les ultras sons les détruisaient. Certains chercheurs croyaient que cela aurait un impact sur les cyanobactéries, mais non. « Chaque élément dans la nature est sensibilisé par une fréquence précise, et cette fréquence peut avoir peu d’impact sur d’autres éléments, explique M. Boutin. Nous n’avions pas la foi dans le produit européen, alors nous avons tout recommencé à zéro. L’objectif était de trouver la bonne fréquence pour le projet-pilote du lac St-Louis. Nous avons créé un réacteur ultrasonique. L’objectif ultime est de tenter le plus rapidement possible de faire des tests dans un autre lac dont la faune et la flore sont plus diversifiées. On termine les tests à La Tuque cet été, et les résultats devraient démontrer le bon fonctionnement de l’appareil. On est certain de notre coup, les ultrasons n’ont pas d’impact sur la faune et la flore du lac.»

Cette dernière affirmation de M. Boutin est très importante, puisque ce projet fait partie du Fonds municipal vert, qui est géré par la Fédération canadienne municipale. Et selon les exigences du programme, le produit utilisé ne doit pas avoir d’impacts sur les autres plantes et sur la faune du lac.